NOM : Père sévère
TITRE : Sika Rlion
ANNÉE : 2020
PAYS : France, La Réunion/Montpellier
NOM : Père sévère
TITRE : Sika Rlion
ANNÉE : 2020
PAYS : France, La Réunion/Montpellier
NOM : Dae Jones
TITRE : I Made It (Clean)
ANNÉE : 2020
PAYS : États-Unis, Chicago
NOM : Icemaiden
TITRE : คุกคามทางเพศ Sexual Harassment
ANNÉE : 2020
PAYS : Thaïlande
NOM : Queenie Lasoul
TITRE : Be Free
ANNÉE : 2020
PAYS : États-Unis, New York, Brooklyn
NOM : Lavida Loca
TITRE : I Been ft. C.S
ANNÉE : 2020
PAYS : Royaume-Uni, Nottingham
NOM : Hullera
TITRE : 4.2.20
ANNÉE : 2020
PAYS : Malaisie
Active sur la scène hip hop depuis plus de 20 ans, Loréa officie d’abord avec le groupe 1 Bario 5 S’pry dans les années 1990 avant de se lancer en solo en 2007. Après une pause, elle s’oriente vers l’animation d’ateliers d’écriture rap et le coaching scénique. Aujourd’hui, la rappeuse lance RAPMAKERS, un dispositif complet de formations en ligne pour les rappeuses·eurs. L’occasion de présenter ce projet, revenir sur son parcours et parler rap et féminisme !
Comment et quand as-tu découvert la culture hip hop ?
J’ai découvert le hip hop en 1984, j’avais 6 ans. La même année, j’ai vu le film Break Street 84 qui raconte les prémices de la culture hip hop aux États-Unis, notamment au travers de la danse. Ce film m’a énormément parlée et marquée. Puis, j’ai rencontré un moniteur de colo qui m’a fait découvrir un album de Jungle Brothers. Cela a été un coup de foudre ! En revenant de colo, j’ai demandé à mon père de m’emmener à la médiathèque de Sarcelles (j’habitais dans le coin à l’époque), afin d’emprunter les albums de De La Soul et Monie Love dont on m’avait parlé. Je les ai écoutés en boucle.
Enfin, cette même année, est arrivée comme un ovni à la télévision, (tous les dimanche après-midi sur TF1 !!), l’émission H.I.P H.O.P de Sidney. On y voyait du graf, des DjJ, des danseurs et des rappeurs. J’ai tout de suite adhéré à cette culture ! Avec ma mère et ma sœur, on poussait la table du salon pour reproduire les pas de breakdance et pour s’essayer au rap ! Et là j’ai compris que mon avenir était là.
De plus, j’étais fascinée par la philosophie positive que le hip hop véhiculait, et Sidney faisait la promotion du « Peace, Love, Unity, and Havin’ fun » d’Afrika Bambaataa (Zulu Nation). J’appréciais particulièrement que l’on voit de jeunes Noirs talentueux et avec un esprit positif à la télé, moi qui connaissais le racisme dans le village où j’habitais, même en tant que métisse. Je rêvais de devenir Zulu à mon tour… (ce qui finit par arriver 30 ans plus tard !)
Tu as commencé le rap à l’âge de 15 ans. Quel a été le déclic ?
En fait, depuis mes 6 ans justement, j’écrivais pas mal de poèmes et de textes en prose. Puis, arrivée au collège vers 11-12 ans, j’ai monté mon premier groupe de rap avec un pote. Les « MMC » (Mini-Mc), c’était tout pourri mais on s’amusait bien !
Ce qui m’a donné envie de rapper, c’est justement le fait d’être tombée amoureuse du rap et de la culture hip hop en 1984, et que j’ai toujours eu envie d’en faire. J’en écoutais tout le temps autant français (des compils Rapattitude, à IAM, NTM en passant par Solaar ou Assassin) qu’américain (Pete Rock et CL Smooth, Gang Starr, Public Enemy, Big Daddy Kane …) Et puis il y avait ces toutes premières rappeuses, Queen Latifah, Monie Love ou encore B-Love, Lady Laistee pour les Françaises, qui me faisaient dire que les femmes aussi avaient entièrement leur place dans le rap, et cela m’encourageait énormément. Elles m’ont clairement donné de la force et montré la voie.
Est-ce que tu avais déjà envie d’en vivre ou est-ce que c’était plus un « hobby » ?
C’est plus tard, en arrivant au lycée, qu’un ami m’a présenté Séar, avec qui j’ai fait partie du groupe 1 Bario 5 S’pry. Quand l’aventure d’1 Bario a démarré, je devais avoir 15 ans. On n’a jamais pensé faire du rap pour de l’argent, à l’époque le rap n’était pas synonyme de « billets » comme aujourd’hui. Ce qui nous importait, c’était d’être talentueux dans notre art et de délivrer un message. Cette passion me prenait beaucoup de temps car je passais tous mes week-ends, ou mon temps après les cours, en répèt dans le garage de Séar à Sarcelles.
Que t’a apporté ton expérience avec 1 Bario 5 S’pry ?
L’aventure 1 Bario était exceptionnelle ! J’ai pu rencontrer mes idoles : Fabe, la Scred Connexion, K-Reen, DJ Cut Killer, Dj Logilo et bien d’autres artistes avec qui on a travaillé, fait des featurings et partagé des scènes, alors que je les écoutais en boucle chez moi ! Notre succès s’est fait assez rapidement ce qui nous galvanisait. On a appris beaucoup, que ce soit pour la scène ou en studio. On a appris à se professionnaliser tout en kiffant. C’était vraiment une très belle époque dont je garde de supers souvenirs.
Tu officies en solo depuis 2007 et mènes également différentes actions culturelles, dont du coaching d’artistes. Qu’est ce qui t’a donné envie de passer de l’autre côté de la scène ?
Après la séparation du groupe en 2000, j’ai attendu 3-4 ans avant de me remettre au rap. J’avais tellement donné que j’avais besoin de cette cassure. Cependant, on continuait à me solliciter de part et d’autre pour faire des feats, des morceaux, des scènes à droite à gauche. Et en 2004, j’ai fini par accepter une proposition. C’est cette année qu’est sorti mon titre Tant d’idées reçues en featuring avec le grand Yaniss Odua.
J’ai ensuite longuement travaillé pour me reconstituer un répertoire de morceaux, pour peaufiner mon écriture, mon flow, et me reconstituer une équipe (des beatmakers, un DJ, un backeur) et j’ai fait pas mal de scènes. Le travail avec cette équipe a été une véritable formation pour moi ! Tous ces artistes m’ont coachée, conseillée, accompagnée, donné des techniques pour l’écriture, le rappin’, le mental … Cela m’a rendu plus forte, alors j’ai entrepris de sortir plusieurs projets. Et j’ai commencé à travailler sur un maxi, puis sur mon album.
Pour financer mes projets, j’avais besoin d’argent, et on m’a proposé d’animer des ateliers écriture rap. J’ai été séduite par cette idée. C’était à la Maison du Hip Hop en 2008 et avec la directrice des lieux Nathalie Barraux, on s’est tout de suite adorées et on ne s’est plus jamais lâchées ! Les ateliers ont énormément de succès et j’y donne donc des cours toutes les semaines depuis 12 ans !
Depuis, j’ai fait des ateliers dans des dizaines d’endroits pour des structures différentes. Des assos, des foyers, des écoles, des structures jeunesses, des SMAC… Et enfin, ces dernières années, constatant que la transmission était l’endroit où je me sentais le mieux et avec l’enthousiasme et la reconnaissance de mon travail par mes élèves, j’ai décidé de me lancer pour développer franchement cette activité.
Aussi, les artistes amateurs que je suis me sollicitent de plus en plus pour du coaching individuel. Il y a 2 ans, j’ai repris des études dans le domaine de l’industrie du disque et du spectacle vivant, ce qui était très complémentaire avec mon expérience et mon activité. Je suis à présent diplômée et chargée de production en musiques actuelles.
En plus du coaching artistique que je propose, (écriture de textes coaching scénique et coaching studio), j’accompagne également les artistes dans le développement de leur projet musical et la professionnalisation.
Tu viens de lancer RAPMAKERS. En quoi consiste ce projet ?
Ces derniers temps, je commençais à être pas mal sollicitée pour faire des ateliers un peu partout en France et même jusqu’au Canada ! Mais depuis que je me suis retrouvée seule après le décès de mon compagnon et père de mon fils, il y a bientôt 3 ans, puis celui de ma mère, je suis peu mobile car j’élève mon fils seule. Je reçois également des messages de personnes qui sont en province et qui me disent souhaiter suivre mes cours, mais la distance est problématique.
Alors, j’ai réfléchi à un moyen de rendre accessible mes ateliers, ma méthodologie, ma pédagogie, pour tous, et avec la possibilité de suivre les cours d’où qu’on soit et à son rythme. C’est ainsi qu’est née l’idée de créer un programme de rap en ligne. De plus, les formations en ligne sont vraiment dans l’air du temps, personnellement j’en ai suivi pas mal sur des sujets différents et je trouve ça très qualitatif et très pratique.
La formation RAPMAKERS est donc une formation en ligne qui s’adresse à tous les artistes amateurs de rap qui veulent développer leurs compétences en écriture et en rappin’. Mais cette formation s’adresse aussi aux débutants. Sous forme de plus de 30 vidéos explicatives, j’y aborde les chapitres de :
L’avantage de cette formation est que l’on peut la suivre de n’importe où, à son rythme. Une fois achetée, le programme est disponible à vie. Il suffit d’un ordinateur ou d’un téléphone et d’une connexion internet. J’ai aussi rajouté plusieurs bonus comme des réductions pour enregistrer en studio ou pour acheter des instrus, grâce à mes partenaires RekYou et 10th records.
Tu es active sur la scène hip hop depuis plus de 20 ans. Quel regard portes-tu sur le rap actuel et notamment sur les rappeuses contemporaines ?
Le rap a énormément évolué depuis ses débuts. Et c’est bien normal car il grandit, s’adapte à une nouvelle génération, à de nouvelles problématiques, à de nouvelles façons de faire et de nouvelles technologies. Moi qui suis une grande amoureuse des textes bien écrits, avec de belles rimes et des messages, je ne cautionne pas tout ce que l’on entend aujourd’hui car je constate que la qualité des textes n’est plus celle de ma génération.
Cependant, le rap actuel est plus mélodique que celui des années 1990 et c’est une bonne chose. J’aime particulièrement les artistes qui parviennent à allier le fond et la forme et certains rappeurs actuels d’aujourd’hui comme Nekfeu, Spri noir ou des plus anciens comme comme Youssoupha ou Kery James s’adaptent très bien à notre époque. Quoi qu’il en soit dans mes ateliers et formations, on aborde la trap autant que le rap plus classique. Il y a également des rappeuses que j’adore comme Billie Brelok, Pumpkin ou la rookie Leys.
En tant que rappeuse, as-tu déjà souffert de sexisme dans et en dehors du mouvement hip hop ?
J’ai souffert du sexisme dans le sens où dès qu’on dit qu’on est une rappeuse, on sent parfois dans le regard de certains hommes que l’on fait du « sous-rap ». Mais dès que la démonstration est faite lors d’un freestyle ou autre, les regards changent vite ! Personnellement, hommes comme femmes reconnaissent mon rap comme étant qualitatif. Mais il est vrai que les filles dans un milieu majoritairement masculin ont souvent cette obligation de devoir prouver qu’elles sont à la hauteur.
Pourtant il n’y a pas de doute à avoir, les rappeuses déchirent au moins autant que les rappeurs, ce n’est pas un art où le genre devrait avoir son importance. Bien écrire et bien rapper a à voir avec le talent, le travail que l’on fournit et la passion qu’on y met. Mais je sais que certaines rappeuses sont « mal accueillies » par le public, majoritairement masculin, lors d’open mics. J’ai autant de rappeurs que de rappeuses dans mes ateliers et heureusement il n’y a jamais aucun sexisme.
Te définis-tu comme féministe ?
Quand j’avais entre 15 et 30 ans, j’étais très féministe. C’est peut-être aussi pour ça que j’ai choisi le rap comme moyen d ‘expression finalement. J’ai toujours été fascinée par les femmes qui excellaient dans des milieux dits « masculins ». L’égalité des sexes étant un sujet qui me tient à cœur.
Par la force des choses et la vie faisant son chemin, je suis moins revendicative et communicante sur le sujet car j’ai d’autres priorités, comme mon fils. Je m’efforce d’être une mère attentive et aimante en priorité surtout après tous les déboires que la vie nous a fait subir ces dernières années. Cela ne m’empêche pas de continuer à avoir des projets et de travailler dur, toujours et encore dans le rap et les musiques urbaines, puisque je suis à la fois artiste activiste et femme entrepreneure.
Quels sont tes projets avec RAPMAKERS et en solo ?
Je me suis mise quelque peu en retrait du côté de mes projets artistiques pour me consacrer à la transmission et au coaching. Je pense que ma place est plus ici aujourd’hui. Il est clair que l’âge y fait pour beaucoup, mais je suis aussi plus épanouie dans ce domaine.
J’ai tout de même sorti un nouveau titre récemment pour le projet du rappeur King Sirocco et je fais de la scène de temps à autre. J’ai quelques nouveaux morceaux que j’ai écrits pour le plaisir et que j’aimerais idéalement enregistrer en studio, mais je ne sais pas quand…
Toutefois, je suis à 300% dans mes ateliers et le coaching que je souhaite continuer à développer. Je vais travailler prochainement sur de nouvelles formations en ligne sur la professionnalisation des artistes qui souhaitent sortir un projet et monétiser leur art et même sur une formation de formateurs pour celles et ceux qui souhaitent animer des ateliers rap. Affaire à suivre…
Que penses-tu de Madame Rap ? Des choses à changer/améliorer ?
Madame Rap est une initiative que je soutiens à 2000%. Elle donne force et courage à toutes les rappeuses, elle les met en valeur, les met en lumière, et c’est très soutenant ! Continuez ce que vous faites et ne changez rien ! Longue vie à Madame Rap !
Retrouvez Loréa sur Facebook ici et là, Twitter, Instagram et ses formations ici.
NOM : Tantrum
TITRE : Eat Alone Freestyle
ANNÉE : 2020
PAYS : Royaume-Uni, Londres
NOM : Pantera Wmke
TITRE : Es Asi
ANNÉE : 2020
PAYS : Mexique, Ixtapa
NOM : Doria
TITRE : Pochtar (Dodo)
ANNÉE : 2020
PAYS : France, Nanterre
NOM : Mamy
TITRE : Tá Kuyar
ANNÉE : 2019
PAYS : Angola, Luanda
Retrouvez notre playlist du mois de janvier sur YouTube, Spotify, Deezer et Apple Music !
Avec :
NOM : Lil Keyu
TITRE : New Day
ANNÉE : 2020
PAYS : États-Unis, New York/Los Angeles
Rappeuse bretonne basée à Paris, Jomei sort son 2e EP Vision Périphérique le 31 janvier. L’artiste de 21 ans nous raconte son parcours dans le rap, son admiration pour Diam’s et sa vision du féminisme.
Quand et comment as-tu découvert le hip hop ?
J’ai découvert le hip hop très jeune, dans un premier temps par la danse. On allait voir des battles que ma mère aidait à organiser et ensuite le rap par mes deux grands frères qui en ont toujours écouté.
Tu as collaboré avec DJ Idem sur ton premier projet. Est-ce avec lui que tu as fait tes premiers pas dans le rap ?
J’ai travaillé avec DJ Idem qui a produit mon premier E.P, mais j’ai fait mes premiers pas dans le rap à 14 ans quand ma mère m’a emmenée dans un studio d’enregistrement et m’a invitée à mon premier concert.
Tu sors ton deuxième EP Vision Périphérique le 31 janvier. Peux-tu nous en dire davantage sur ce projet ?
C’est un projet que j’ai réalisé grâce à la proposition du CLAJE de Paris 12e de m’intégrer dans leur accompagnement, qui consiste à financer un E.P. à de jeunes artistes. Quelques semaines plus tard, j’ai rencontré mes deux beatmakers (Soprae et Daniel Ollison) et on a commencé à travailler dessus. On avait besoin de s’accorder, de trouver un son à trois et un an plus tard, on est rentré en studio pour commencer à enregistrer.
Cet EP contient 7 titres qui passent de la trap à des morceaux calmes, avec des couleurs électroniques très marquées. C’est un projet dont on est tous les trois très fiers et qu’on a hâte de partager avec le public !
Comment définirais-tu ta musique a des gens qui ne la connaissent pas ?
Je dirais que c’est une musique très personnelle, introspective. Mes auditeurs aiment l’appeler «consciente » mais je ne suis pas très à l’aise avec le terme. Il y a une vraie recherche stylistique, une couleur que j’aimerais voir mise plus en avant dans le paysage musical d’aujourd’hui.
Comment composes-tu tes morceaux? As-tu des thèmes de prédilection ou des rituels d’écriture particuliers ?
J’écris seule, la plupart du temps la nuit. Comme mes textes partent majoritairement d’une sensation, une émotion ou un questionnement, je suis souvent seule quand ça arrive. Avant, j’écrivais tout le temps en partant des instrumentales mais c’est moins le cas aujourd’hui. Je peux écrire avec ou sans musique au départ.
Quelles sont les femmes, connues ou pas, qui t’inspirent?
La femme qui m’a toujours inspirée c’est Diam’s. Je crois qu’elle a été un gros phénomène pour toute une génération et pour moi elle a été une sorte de guide. Si elle n’avait pas été là, je ne sais pas ou j’en serais aujourd’hui honnêtement. Il y eu aussi Keny Arkana, ses textes ont initié une partie de mes opinions d’aujourd’hui.
Te définis-tu comme féministe? Pourquoi?
Je pense que ça ne devrait même pas être une question. On est en France et, normalement, dans la loi, les femmes sont les égales des hommes. Si on parle encore de féminisme aujourd’hui, c’est qu’il y a toujours un problème avec ça. Après, je ne connais pas toutes les « valeurs féministes », mais oui bien sûre, je suis pour l’égalité hommes-femmes.
Quels sont tes projets a venir ?
Mon EP sort donc le 31 Janvier, il y a le concert de sortie le jour même à la Ferronnerie (Paris 12). Ensuite l’objectif, c’est de faire des concerts pour faire vivre l’EP, le promouvoir, acquérir de la notoriété…
Que penses-tu de Madame Rap ? Des choses à changer/améliorer ?
Le concept est super, il manque des médias pour suivre et relayer les rappeuses. Un grand merci pour votre travail, vous êtes d’une grande aide dans le développement de nos carrières artistiques !
Retrouvez Jomei sur Facebook, Instagram et YouTube.
© Dominique Bakilo
Dans le cadre de sa résidence itinérante en Seine-Saint-Denis, Madame Rap organise pendant les vacances de février des ateliers de beatmaking/DJing pour les enfants !

Animés par la DJ/productrice Kelyboy en partenariat avec Mains d’Œuvres et La MOMO !
Ces ateliers visent à :
– démontrer que le DJing et le beatmaking ne sont pas réservés aux garçons;
– présenter les origines de ces pratiques ;
– donner des bases techniques et autonomiser les participant·e·s ;
– créer un mix/un morceau.
– Ouvert aux enfants de 5 à 12 ans
– Du lundi 10 au vendredi 14 février (Restitution publique le 14 février à 16h)
– Au Gymnase du Collège Joséphine Baker à Saint-Ouen
Toutes les infos sur les ateliers ici et tout le programme de la résidence itinérante de Madame Rap en Seine-Saint-Denis ici.
NOM : Hellwana
TITRE : Halle Berry ft. Flash
ANNÉE : 2020
PAYS : Tchéquie
NOM : Miss LaFamilia
TITRE : Big Smoke
ANNÉE : 2020
PAYS : Royaume-Uni, Birmingham
NOM : Elane
TITRE : Hiprofenia
ANNÉE : 2020
PAYS : Espagne, Barcelone
NOM : Oxymore
TITRE : Dogma
ANNÉE : 2020
PAYS : France, Tours